06/08/2025 Les exécutions en Iran continuent à un rythme élevé trahissant la peur bleue des mollahs de voir se réaliser leur pire cauchemar : un soulèvement dévastateur qui les balaiera de la scène iranienne. C’est la jeunesse et les femmes qu’ils redoutent le plus, c’est donc la raison pour laquelle ils s’acharnent sur elles. Ainsi depuis l’accession de Massoud Pezeshkian à la présidence, 1515 personnes ont été pendues en Iran.
Selon les informations venant de l’intérieur de l’Iran, le 3 août, six prisonniers ont été envoyés à la potence : Saber Azizpour à Khorramabad, Rassoul Arabi à Arak, Moslem Jalali à Kermanchah et trois autres, Mohammad Garroussi, Reza Bakhtavar et Fariborz Haghi, 28 ans, à Karadj.
Le 2 août, Fouad Azar, 35 ans, a été exécuté à Yassoudj, et Sajad Zareh, 35 ans, à Gatchsaran. Le 31 juillet, une femme Nahid Jokar, et trois hommes ont été pendus à Chiraz, tandis qu’un autre homme a été exécuté à Ahwaz.
Le 30 juillet, neuf prisonniers ont été exécutés dont une femme, Mahtab Bayati, et Ali Ashrafkhani à Machhad, Reza Afra’i Mardakheh à Racht et Jaber Salami à Qom. Les noms des cinq autres prisonniers ont été communiqués auparavant. Le 29 juillet, six prisonniers, dont Arash Mohammadi, 36 ans, a été pendu à Qom, et Mohammad Rikani, à Ahwaz ; les noms des quatre autres prisonniers avaient aussi été communiqués avant.
Le monde a de toute évidence adopté la politique de l’autruche face à ces pendaisons en cascades qui constituent des crimes contre l’humanité. Une politique qui encourage les mollahs à persévérer dans leur cruauté.